Le consortium sur les biomarqueurs en santé mentale s’est déroulé le 3 et 4 février, avec le soutien de la Saïd Business School de l’Université d’Oxford, la Fondation FondaMental, le PEPR PROPSY, l’Ambassade de France au Royaume-Uni, le plan d’investissement France 2030, la Mental Health Translational Research Collaboration (NIHR) et le Higher Education, Research and Innovation Department.
Deux jours d’échanges entre chercheurs français et anglais sur les classifications internationales des biomarqueurs.
Les thématiques suivantes ont été mises en avant :
- réduire l’hétérogénéité des diagnostics catégoriels,
- bien prendre en compte les troubles psychiatriques et somatiques,
- fournir des entités diagnostiques valides, qui permettent le développement de traitements efficaces des troubles mentaux.
La première journée a été consacrée aux biomarqueurs sanguins et à leur potentiel pour affiner les diagnostics psychiatriques. Le lendemain, l’harmonisation des infrastructures et l’exploitation de grandes bases de données ont été évoquées.
Une collaboration franco-britannique est à l’étude, à travers des partenariats public-privé entre des universités, des organisations caritatives, des sociétés pharmaceutiques et des entreprises technologiques, pour la mise en place d’un programme de recherche commun aux deux pays, l’exploitation des données existantes et la garantie d’un échantillonnage harmonisé.