Boris Chaumette était présent au World Congress of Psychiatry à Prague, organisé par le World Psychiatric Association (WPA), pour intervenir sur la session « L’illusion des frontières diagnostiques : applications contemporaines des approches transdiagnostiques en psychiatrie » aux côtés du Pr. Jeremy Hall.
- Dans les troubles du neurodéveloppement, un diagnostic fonctionnel est plus utile cliniquement que les étiquettes catégorielles du DSM.
 - Le séquençage complet du génome est de plus en plus utilisé pour identifier des variants génétiques rares.
 - La thérapie génique et le repositionnement de médicaments sont des exemples d’interventions ciblées basées sur l’étiologie génétique.
 - Les troubles génétiques rares sont fréquents dans les populations psychiatriques, avec des rendements moléculaires significatifs dans les cas d’autisme et de schizophrénie.
 - Les initiatives génomiques nationales (comme Plan France Médecine Génomique 2025) intègrent des tests génétiques pour les affections neurodéveloppementales avec une résistance au traitement.
 - Certains syndromes démontrent le continuum entre troubles neurodéveloppementaux et maladies psychiatriques, avec des facteurs de risque génétiques qui se recoupent.
 
Le PEPR PROPSY et ses travaux de recherche en psychiatrie de précision ont également été mis à l’honneur.

